Molson Party

17 septembre 2009

(jeudi)

Je pense que dans cette journée, l'unique chose à raconter, c'est la soirée. Evidemment c'était sympa la réunion de PolyPhoto où on a appris pas mal de choses sur les évènements à venir. Evidemment, c'était cool la fin d'après midi à finir la mise en page du PolyScope (qui est d'ailleurs désormais en ligne). Mais c'était rien comparé à la Molson Party.

Avant d'aborder le sujet, j'aimerais préciser un point car il est fort probable que j'en reparle plus tard. Il y a la Molson Party et la Molson Party... Le soucis, c'est qu'elles portent le même nom mais qu'il s'agit de deux soirées différentes. La première, celle qui nous concerne présentement, est une grosse soirée dans un vaste bâtiment dans le Vieux Montréal, presque sur les berges du Saint-Laurent. Au moins 2000 fêtards attendus, ouverte à n'importe qui ayant réussi à avoir des places (en payant, en allant à d'autres soirées Molson, en étant membre d'un comité à Poly, …).

La seconde, dont je parlerais (si tout va bien) dans quelques temps, c'est une soirée nettement plus VIP on va dire. Comme l'EPM achète beaucoup de bière (mais vraiment beaucoup...) à la famille Molson, celle-ci organise chaque année une soirée chic (costard de rigueur) dans la salle de réception de sa brasserie où ne sont invités que les membres les plus impliqués de Poly (en clair, chaque comité à un nombre de places bien défini et choisit quels membres y envoyer). Il doit y avoir quelque chose comme 200 places... c'est donc une ambiance nettement différente. Le nouveau challenge étant bien sur d'arriver à avoir une place pour cette soirée désormais (et de trouver un costard le cas échéant aussi...).

Quoi qu'il en soit, revenons à la première Molson Party. Je retrouve Guillaume et Pablo au PolyScope, normalement il aurait du y avoir Jef également mais il nous dit qu'il aura du retard. Et puis finalement, il viendra pas du tout pour des raisons encore inconnues mais beaucoup de sourires en coin le lendemain. Je pense qu'on ne peut pas vraiment lui en vouloir... La soirée commence à 22h, mais en bons Français, on se met en route à 22h... histoire d'arriver à 23h... avec une queue énoooorme devant l'entrée. Elle s'étalait sur des dizaines et des dizaines de mètres, sans parler du fait que ça entrait au compte goutte. Premier moment de déprime, hésitation palpable... et puis le miracle.

Pablo reconnaît des gens de son Génie à quelque chose comme 5 mètres de l'entrée, rapide discussion, pouf, nous voici dans la queue. Tatata... discrétion totale... On discute un bon quart d'heure avant de finalement arriver devant le portique de sécurité. A droite, gros vigile musclé, à gauche, magnifique hôtesse habillée en policière, menottes à la ceinture... On entre, nos pieds foulent le tapis rouge, de part et d'autre une dizaines d'autres hôtesses qui se chargent de vérifier notre âge ainsi que nous demander si l'on souhaite recevoir les pubs Molson. Nouvelle avancée, bonjour les vigiles sur-musclés. Fouille au corps, fouille des sacs, tout est ok. Avancée. Bonjour les videurs. Vérification des billets (bizarrement j'aurais fait ça en premier mais bon...), petit tampon sur la main et on peut entrer dans la salle. Que la soirée commence !

Au rez de chaussée, immense salle avec une scène sur laquelle un DJ mixe, entouré par de ravissantes hôtesses se déhanchant sur des podiums au rythme de la musique variant de la techno à l'électro. A l'étage, une salle encore plus immense avec un autre DJ, d'autres hôtesses dansantes, … Et partout, des stands pour vendre de la bière (et uniquement de la bière...).

On a le choix entre la Dry classique ou bien tenter les nouveautés de la rentrée (je crois) aux couleurs rouge ou jaune. C'est 3€ le tiers de litre, ce qui n'est relativement pas cher quand on pense au fait que l'entrée était gratuite et à l'ambiance qui règne dans le bâtiment.

Début de soirée au rez de chaussée, premières bières, on retrouve Nawal (membre du PolyScope) et une amie à elle. On discute un peu (malgré la musique à peine très forte). Rapidement, on montera à l'étage : plus grande salle, plus de monde, meilleure ambiance. On y croise pleins d'étudiant(e)s de l'EPM.

Dans un coin de la salle se trouve un atelier qui propose des « tatouages ». Disons que ce n'est pas vraiment un tatouage classique, seulement un jet d'encre assez tenace et qui finira par partir au bout de quelques rinçages. Quoi qu'il en soit, l'idée est tentante et on bras colorié plus tard, je continue la soirée.

Difficile de mettre des mots sur la suite, je dirais juste que c'était génial et probablement ma meilleure soirée depuis que je suis arrivé au Canada. Si je devais la résumer en trois mots :

Just Enjoy It.

Toutes les photos ici.

18 septembre 2009

(vendredi)

Réveil difficile... très difficile... grosse surprise du tatouage avant de me rappeler peu à peu les évènements de la veille. Allez, on se motive !

Une journée de travail hautement productive plus tard (ironie inside), je retrouve Thibault pour aller au Pub (normal, on est vendredi). Après le premier verre, on retrouve Maxime et Romain et il est temps de passer à la vitesse supérieure avec deux pichets. J'y croiserais également Pablo (qui est membre du Comité Pub en fait) et Jef. Vers la fin, Joseph et... heu.. Arthur (je crois), deux français, viendront s'assoir à notre table quelques instants.

Quelques photos...

 

19 septembre 2009

(samedi)

Journée repos, soirée poker chez Romain. On s'y pointe avec Maxime, on y retrouve Jérémie (coloc de Romain) et Guillaume. Pas grande chose à en dire si ce n'est que c'était super sympa, encore une bonne soirée. Allez, notons quand même que Maxime a réussi à être éliminé dès le premier tour de la seconde partie, un exploit rare que je n'avais en fait encore jamais vu.

Quelques photos...

J'avoue que j'abuse un peu du résumé photographique (beaucoup de photos, peu de texte) dans cet article, mais je suis un peu pressé du fait que la semaine prochaine, tous les étudiants étrangers ont accès gratuitement à pleins d'endroits dans Montréal et donc je compte bien en profiter, mais du coup, il faut que je prenne de l'avance dans mon travail sinon je vais pas m'en sortir (et ouais, presque on doit vraiment bosser maintenant).

A la prochaine !